Aller au contenu

Yearbook 2022 perso

Étiquettes:

En lisant ce Yearbook 2022, vous pouvez écouter les variation Goldberg de J.S. Bach

En cette fin d’année, j’ai plaisir à renouer avec ce moment privilégié de rédaction de mon « Yearbook », un petit rituel que je me suis inventé et qui me permet de faire un retour arrière sur cette première année entière de « retraité ». On va dire que le temps est passé très vite….

J’ai choisi ces images des deux territoires entre lesquels j’ai alterné cette année : Palaiseau et le plateau de Saclay, et Plouharnel, dans le Morbihan. Même si j’ai fait cette année trois belles escapades dans les Alpes et dans les Pyrénées, je trouve de plus en plus de plaisir et d’intérêt à me pencher sur un territoire local.

Me pencher, littéralement, pour travailler la terre, récolter des produits que la nature nous offre, ou simplement admirer l’empreinte d’une belette dans la neige, une rose sortant des sables, un beau coléoptère rouge en train de dévorer du bois mort, ou une structure minérale datant de 300 millions d’années. Me pencher, intellectuellement et avec tous mes sens en éveil, pour comprendre son histoire, prendre conscience de son climat, ressentir toute la complexité et la richesse des écosystèmes qui le composent, et le parcourir… le nez au vent.

Alors oui, une partie du monde est en guerre, on ne sait que faire face aux drames que vivent les iranniennes, les afghanes, et tant d’autres dans le monde, les difficultés économiques rendent la vie plus difficiles à beaucoup d’habitants de cette terre, et pas seulement en France, et l’inaction face au changement climatique est plus qu’inquiétante.

Que faire? A minima, contribuer modestement mais très concrètement, à ne pas agraver les choses et, quand c’est possible, à « réparer le monde » autour de soi. Et partager.

Nicolas

Prendre soin de la planète

L’hiver étant propice à cela, j’ai commencé l’année en comptabilisant l’impact carbone de tous mes voyages en avion (pro et perso). En 40 ans, depuis mon premier vol en 1982, j’ai fait 405 décollages, et 1,26 millions de km, soit un aller-retour et demi entre la Terre et la Lune. A ce stade, je ne prends plus l’avion, et je suis donc virtuellement scotché sur la Lune! J’ai été plutôt vertueux côté perso (moins de 100 000 km en avion pour des voyages d’agrément). La partie la plus difficile est de trouver des mécanismes permettant vraiment de fixer les 336t de CO2 résultant de ces voyages, et ce, dans un délai raisonnable de 15-20 ans. Après quelques recherches, et j’ai financé la plantation d’une trentaine d’arbres qui permettront, en théorie, de fixer 30t de CO2 d’ici…2060! Pour compenser 336t d’ici 2040, il faudra que je multiplie par 20 mon investissement. L’histoire n’est donc pas terminée, et je poursuivrais en 2023 ce projet de compensation complète. Les détails de mes efforts de compensation complète sont dans le billet de blog J’ai (trop) pris l’avion.

Mon projet de printemps a été de débuter un réaménagement de mon jardin de Plouharnel. J’ai commencé par imaginer, en partant de l’existant, un jardin aussi divers que possible (potager, jardin floral, verger, haie comestible, petite « forêt », zone humide), et j’ai entamé les premiers travaux d’aménagement. Sans oublier bien sûr de mener à bien mes semis (tomates, courges) et les plantations dans mes deux potagers de Palaiseau et Plouharnel.

Un moment épique, raconté dans ce billet a été de déplacer la cabane de jardin pour qu’elle prenne sa place définitive.

L’été a été le temps de belles récoltes de fruits (pommes, poires, figues, fraises, cerises, prunes, quetsches, mirabelles, mûres, groseilles, framboises, rhubarbe, noisettes), de légumes (courgettes et potirons, beaucoup de concombres, artichauds, haricots verts, bettes, salades, radis, tétragone, navets, tomates, betteraves, pommes de terre, topinambours, …). Il a fallu gérer la sécheresse estivale et une interdiction d’arrosage (j’ai un projet de mise en place d’une citerne de récupération d’eau, mais ce sera pour 2023).

Pas mal d’activité aussi côté cuisine : confitures (pomme, poire, framboise, groseille, mirabelle, quetsche, rhubarbe, mûres,…), pâtes de fruit et les barres de céréales pour notre alimentation en trail, vin de sureau, Génépi, production de Kefir, séchage d’herbes (verveine-citronnelle, menthe et mélisse pour nos tisanes d’hiver, ainsi que du thym pour la cuisine, des champignons…)

Nous avons largement profité de la Bretagne, mais, comme beaucoup d’autres, avons été témoins d’inquiétants et importants incendies, tout proches de nous.

Enfin, l’automne a été l’occasion de faire et déguster de belles récoltes de champignons, et de réaliser cette belle série de photos.

Tout au long de l’année, j’ai pris le temps de saisir quelques instantanés de la vie sauvage autour de moi.

Devenir grand-père

Notre petit-fils est né en mai. Quand on le voit avec ses parents, c’est un émouvant retour arrière : on ressort les vieux jouets, les vêtements bébé qui avaient été conservés de nos propres enfants, on retrouve les gestes pour le porter, le consoler, lui préparer à manger, on expérimente à nouveau toutes les étapes du développement… c’est magique!

Pour Noël, je lui ai fabriqué de ma blanche main un chouette jouet en bois, fait à partir de cubes de chêne de 4cm de côté.

Pour le moment, c’est surtout un jouet à porter à la bouche, ou à empiler… et faire tomber, mais plus tard le jeu permettra construire des matrices 2D de 6×6 (les cubes sont bicolores, pour pouvoir faire un rudimentaire « pixel art ».). Plus tard encore, le petit-fils pourra tenter de reconstituer trois cubes en 3D.

Mathématiquement (on ne se refait pas!), je suis parti de l’idée que 13+23+33=62

Encore un peu de sport en 2022

J’ai profité d’un séjour de ski à Arêches-Beaufort en mars, pour faire la 1ère sortie en ski rando de ma vie. Accompagné par un excellent guide ☺️ nous sommes montés au Grand Mont (2686m). Il faisait très beau et il avait reneigé 4-5cm la nuit précédente. J’ai adoré l’expérience, même pendant une montée bien raide et verglacée où je me suis demandé plusieurs fois je n’allais pas dévisser.

Toujours amateur de trail, j’ai maintenu mes distances d’entraînement, franchissant de cette année la barrière des 1100km parcourus en trail, avec plus de 17 000m de dénivelé auxquels s’ajoutent 360km de randonnée avec 8500m de dénivelé. Ainsi, j’ai pu faire en 2022 une belle randonnée, et quelques trails, dont certains en famille !

  • Avril : Bretagne Ultra Trail 2022 pour célébrer dignement mes 60 ans en parcourant 60 km… à peu de choses près. Une belle expérience introspective, pendant laquelle j’ai mentalement re-parcouru les années de ma vie. Voir le compte rendu de cette expérience.
  • Mai : Trail des lavoirs, en vallée de Chevreuse, en duo avec mon fils Geoffroy
  • Août : Du cirque de Barrosa au pic de Batoua – 100km / 5000m D+, randonnée à l’issue de laquelle j’ai joué à « Rendez-vous en terre inconnue » en retrouvant Geoffroy en haut d’un pic, à près de 3000m d’altitude
  • Septembre : Trail des Aiguilles Rouges – 56km / 3600m D+, un périple de plus de 13h dans le froid, en duo avec mon fils Geoffroy

Plongée dans l’histoire du XIXème siècle… et au-delà

Début février, j’ai créé mon premier article sur wikipedia (et j’ai bien l’intention d’en commettre d’autres), au sujet de Nathalie Demassieux, une arrière-grande-tante chimiste. Les personnes intéressées peuvent aussi lire l’article plus personnel Nathalie Demassieux, une femme de science remarquable, que j’ai fait à son sujet sur ce blog, ainsi que la tragique histoire de son frère Vsevolod, un révolutionnaire tué pendant la grande terreur de Staline.

J’ai continué les projets d’édition d’un ensemble de documents familiaux, avec toute la recherche de contexte et d’illustration que cela entraîne. La collection comporte maintenant 6 titres, dont 5 ont été finalisés en 2022.

undefined

2022 marquait le 200ème anniversaire de la naissance de Frédéric Passy, 1er prix nobel de la paix et aussi l’un des mes arrières-arrières-arrières-grand-parents. La Poste a d’ailleurs émis le 10 octobre 2022 un timbre à son effigie. J’ai participé à ma façon à cet évènement en publiant Frédéric Passy (1822-1912) : sa vie, évoquée par ses proches juste à temps pour le bicentenaire. Dans la foulée, j’ai aussi publié des biographies de ses trois fils aux vies aussi diverses que passionnantes. En les lisant, vous découvrirez par exemple que Paul Passy, créateur de l’alphabet phonétique international, a rencontré le président américain Arthur au beau milieu d’un voyage dans le parc du Yellowstone, puis a fondé une communauté agricole socialiste. Jacques Passy, mort jeune, a collaboré étroitement avec le psychologue Alfred Binet, et a rencontré de nombreux écrivains de l’époque, dont Émile Zola. Quand a Pierre Passy, il a écrit un traité de pomologie (l’art de faire pousser les pommier) qui fait encore référence, aujourd’hui!

J’ai aussi finalisé la publication de Souvenirs de ma vie et des miens, mémoires de mon arrière-grand-mère, Yvette Passy, fille de Jacques Passy et petite-fille de Frédéric Passy, née en 1891 et morte en 1994 à l’âge de 103 ans.

Manuscrit de Blanche Passy

La Généalogies des familles d’Aure, de Tarlé et Passy, écrite par Blanche Passy est un manuscrit datant 1895-1898 qui m’a fait remonter dans le passé, jusqu’en l’an 952 pour l’origine de la famille d’Aure, qui régnait sur les vallées des Pyrénées dans lesquelles j’aime tant randonner. Éditer ce document, m’a d’ailleurs amené à perfectionner mes compétences en héraldique, ainsi qu’en paléographie pour déchiffrer et tenter de traduire du vieil occitan.

Mais j’ai aussi replongé! (dans les technologie)

Mon yearbook de l’an dernier se voulait radical, quant à mon changement de vie. Plus de numérique…. et plein d’autres choses à la place

Sinon, je garde un œil sur le numérique, son/ses métaverses et le Web3, … mais, fidèle à ma devise temporaire TSN (Tout Sauf du Numérique), je me garde bien de trop replonger dans la marmite !

Nicolas Demassieux, Yearbook, janvier 2022

Et voilà que l’on m’annonce début février que l’académie des technologies m’a élu pour devenir l’un de ses membres! Je me rends bien compte qu’accepter cette proposition me fera « replonger dans la marmite », mais il est des honneurs qui ne se refusent pas. J’ai donc rejoint l’académie cette année, en prenant soin toutefois de diversifier mes contributions. Dans la mesure du possible, j’y apporte mes compétences sur le numérique, mais je participe aussi aux réflexions sur une technologie plus soutenable et utile, et aux enjeux d’inclusion. Et j’avoue que les séances thématiques sur des tas d’autres sujets me passionnent : faut-il faire des petits réacteurs nucléaires civils?, où en est le débat sur les OGM?, quels enjeux énergétiques pour 2022 et surtout 2023 en France,….

J’ai publié quelque travaux personnels concernant mes premiers émois informatiques, l’origine du mot télécommunication, et l’histoire de mon travail de thèse… dont j’ai découvert par un total hasard qu’un petit morceau a atterri sur un satellite de Saturne, d’où « mon » circuit a transmis les images de Titan vers la mission Huygens, qui orbitait autour de Saturne.

Enfin, rejoignant le XIXème siècle et le XXIème siècle, un travail sur la Dataviz à travers les temps, et une petite réflexion illustrée sur 200 ans de « progrès » entre 1822 et 2022.


Partager à travers le blog Nicopedies

En plus des articles déjà cités, le blog Nicopedies s’est enrichi en 2022 au fil de mes curiosités quelque peu … éclectiques

Deux de mes destinations de promenades : la carrière de la Troche et sa géologie, et le Bois de Normandie, sa toponymie et ses fleurs printanières.

La recherche de l’origine d’un meuble de famille m’a conduit sur la piste improbable d’un chanoine de l’évêché de Gap. J’ai pu reconstituer l’histoire du domaine Sainte-Marguerite à Boufarik, un domaine produisant des fleurs et distillant des parfums en Algérie, histoire qui croise curieusement celle du sergent Blandan, « héros » de la mythologie coloniale française dont la statue ornait les rues de la ville de Nancy où j’ai passé ma jeunesse.

En attendant un travail plus poussé sur le sujet, j’ai écrit un hommage au Wikipedia de poche du XIXème siècle… l’almanach Hachette, cher à mon cœur. Wikipedia, qui a une page sur l’anecdotique Almanach Vermot ne dit quasiment rien sur cet ouvrage important… il va falloir que je répare cette injustice en 2023!

Je me suis enfin attaché à remettre en visibilité deux artistes de la famille, la graveuse sur bois Valentine Henches et le peintre aquarelliste lyonnais Robert Rolland, en publiant leurs biographies avec un petit catalogue de leurs œuvres.

Le compte rendu d’une exposition sur les oasis de l’Ousbekistan a clôturé l’année.

Ambitions pour 2023

Enfin, voilà quelques projets pour l’année à venir

  1. Être un mari, père et grand-père attentif
  2. Faire de belles rencontres et partager avec d’autres des moments de qualité
  3. Poursuivre mon projet de vie « lower impact » (compensation carbone de mes voyages aériens, si possible via un projet local, m’intéresser au « low tech » en partant des manuels de savoir-faire pratiques
  4. Implanter définitivement le nouveau jardin de Plouharnel et y faire pousser de belles récoltes
  5. Présenter dans Nicopedie ma collection de fossiles du Lutétien et quelques documents associés.
  6. Publier la biographie du général Louis Nicolas Demassieux
  7. Contribuer au fil de l’eau à l’Académie des Technologies, en commençant par l’organisation d’une journée thématique sur les Métavers
  8. Se maintenir en forme autant que possible, et faire un « grand trail » en juin/juillet
  9. Débuter en Septembre 2023 mon tour de France du XXIème siècle et partager les étapes de ce projet qui durera, je pense et je l’espère, plusieurs années. Avant goût sur l’itinéraire projeté (en construction). En attendant, le livre d’origine avec ses magnifiques gravures et ses édifiantes leçons de morale et d’histoire de France, est toujours disponible sur mon site. Stéphane Bern et Lorànt Deutsch ont même parlé de ce livre dans la récente émission « Laissez-vous guider » du 3 janvier, sur la Belle Epoque. C’est un signe!

Bilan de mes projets pour 2022

Mon yearbook de l’an dernier se terminait pas une liste de 12+1 projets pour 2022. Une petite évaluation s’impose😉. Le bilan s’établi à 9 ✅ et 3❌. On n’est pas sur les 100%, parce que…j’ai fait plein d’autres choses (magnifique privilège de choisir chaque jour de quoi il sera fait).

  1. Comptabiliser l’impact carbone de mes voyages en avion depuis le début de ma carrière, et trouver le moyen de le compenser, si possible via un projet local
  2. Déplacer une cabane de jardin et construire une serre
  3. Dessiner et jeter les bases d’un nouveau jardin en Bretagne, et d’un aménagement de la maison.
  4. Démarrer mon projet de tour de France par Deux Enfants, version XXIème siècle
  5. Participer à la célébration du 200ème anniversaire de Frédéric Passy, 1er prix Nobel de la paix et aussi l’un des mes arrières-arrières-arrières-grand-parents, en publiant les « mémoires d’un nonagénaire »
  6. Publier les mémoires de mon arrière-grand-mère, Yvette Passy, fille de Jacques Passy et petite-fille de Frédéric Passy.
  7. Me lancer à contribuer à Wikipedia
  8. Courir quelques trails : le 1er sera le 23 avril, le Bretagne Ultra Trail, 59 km qui vont de la ville de Locunolé (29) au port de Doelan à Clohars Carnoet (29).
  9. Faire pour la 1ère fois du ski de randonnée.
  10. Adhérer à une association naturaliste et contribuer à enrichir les base d’observations sur la nature (plantes, champignons, oiseaux, insectes…).
  11. Présenter dans Nicopedies ma collection de fossiles du Lutétien et quelques documents associés. À revoir en 2023!

et ✅Devenir grand-père ! (pour le coup, je n’y suis pour rien, mais faut reconnaître que, quand il est là,

4 commentaires sur “Yearbook 2022 perso”

  1. Cher Nicolas, cher neveu,
    Quelle bonne idée de transmettre ce Yearbook perso 2022 ! Il présente clairement la foultitude de sujets, travaux, préoccupations, projets, enquêtes – j’en passe -, qui ont traversé l’année et surtout ton esprit fertile, généreux et … allez, je le dis quand même, puissant !
    Oui, tout cela est impressionnant non seulement au regard de l’héritage du passé (familial, géologique, écologique etc), mais aussi au regard de l’avenir et de ce que nous avons à en faire nous-mêmes au quotidien.
    Bref, reçois mes félicitations et mes encouragements. En particulier pour non seulement mener toutes ces entreprises mais aussi pour en communiquer les buts et résultats.
    Un bémol – je peux ?- Je trouve sauf erreur de ma part et à titre strictement personnel, qu’il manque ici ou là un peu de musique, un peu de poésie, à moins que qu’elles soient dans les objets mêmes que tu contemples et dont, entre autres, tu nous communiques de si belles photographies. Je crois, les années passant, que notre monde ne peut aussi se vivre qu’à travers ces strates artistiques et leur pratique. Donc, un bon conseil de ton oncle : n’oublies pas de lire les poésies de Victor Hugo ou d’écouter la musique d’Erik Satie, par exemple… Tu dois quand même bien avoir 5 mn de libres de temps en temps ! Bernard

    1. Merci, cher oncle, pour ce gentil commentaire
      il y quand même un peu de musique (j’avais justement choisi les gymnopédies en introduction de mon Yearbook 2021), et, cette année, les variations Goldberg. Il y a aussi un petit billet d’humeur où je parle de la 7ème de Beethoven. Mais tu as raison,… je ne diffuse pas trop de musique. Il y a ce problème de gestion des droits… mais rassure-toi, j’en écoute souvent en travaillant.

      Pour la poésie, tu trouveras la publication que j’ai faite de Souffles d’ailleurs – Neuves empreintes dans l’article portant sur Robert Rolland. Mais je ne lis pas beaucoup de poésie, préférant celle, contemplative, qui se dégage de l’observation de la nature. Néanmoins, je viens de lire avec intérêt Le crapaud de Victor Hugo, dont j’ai entendu parler sur France Culture avant hier je crois.

  2. Bonjour Nicolas,
    Très bonne année 2023.
    Le Yearbook est aussi complet que celui de la Recherche.
    Que d’activités !!! Et une forme olympique.
    A très bientôt
    Bien amicalement
    Stéphane

  3. Tous mes voeux Nicolas
    Ce site est en effet bien inspirant. J’envie les productions de ton potager, et ayant entretenu 20m2 de potager je mesure le travail qui me reste à faire.

Répondre à Roche Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *